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    éKlats 16/52

     

        Déjà à la moitié de la semaine et je n'ai encore rien écrit. Enfin si, des bouts de phrases notées ici et là, de conneries entendues, de phrases claquantes, mais les garder ?
        Déjà la moitié de la semaine et toujours cette fatigue bluesante alternant avec une énergie ... fatigante. Nord. Sud. Lumière. Ombre. Souvent.
        Tout est important. Rien ne l'est. Bla-bla-bla ici, bla-bla-bla tellement partout !
    Les paroles sont si peu sans les actes. Allez, éloigne-toi de cet écran. Hop, sur le pont ! Ok, captain !

     

    Sail on, sailor ! (j'l'aime bien, cette reprise ...)

       

        ... Un temps ...

     

        Et puis dois-je encore écrire pour me révolter contre ce monde de dingues dangereux que j'ai envie de tuer. Dois-je encore écrire ma haine, mes haines de tant de choses ? Basta ! Tout cela est d'une toxicité.
    Bien trop d'humains oublient l'infinissime petit point que chacun représente sur la Terre et dans l'infini. Quelle vanité ! Mais quelle vanité ! Chacun est un monde, mais quelle violence meurtrière vis-à-vis de l'autre, au nom de pouvoirs auto-proclamés.

        Et même dans des "petits" trucs, je m'agite, je m'agace : personne n'y mettra donc jamais du sien !
    Sur les poubelles, quelqu'un avait mis au rebut un canapé gigantesque (pourquoi sur, et pas à côté, déjà !) et mon sang n'a fait qu'un tour. J'ai déposé sur la porte du local à poubelles un papier trouvé facilement sur Internet (il leur sert à quoi  leur aïe-faune ??!!) où il était expliqué que faire de ses encombrants pour que la ville les ramasse, sans qu'on ait à aller soi-même jusqu'à une déchetterie ! Mais non ! Le papier n'a pas tenu longtemps et j'en ai remis un ... mais est-ce que ça servira à quelque chose.

     

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        Je pense souvent à ce titre d'un livre de Jules Romains (un des nombreux livres en attente depuis des lustres dans ma bibliothèque) : Les hommes de bonne volonté. C'est un truc qui me parle, ça : la bonne volonté, ça détermine une sorte de vertu qui aiderait l'humanité. Je suis bien ingénue, je ne suis pas sûre que le Mal ne prenne pas vite le pas sur le Bien, trop souvent. Et moi-même ne suis pas une sainte, je fais, dis et pense bien des conneries, mais je respecte les codes de bonne entente et je ne ferais pas de mal à quelqu'un qui n'en a pas fait au préalable. Question de jugement personnel ? Ben non, pour moi, le bon sens, ça existe !

     

     

    Encart humour

     


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    ... raté pour ce coup-ci ! (44 lavages prévus, 43 effectués !)

     

     

                         Trouvé ça ...

    éKlats 16/52

               
                  ... dans une boîte à livres de mon quartier.

    Bilan : ne jamais rien savoir de la vie privée des gens, de l'hypocrisie et de la cupidité des gens, sans compter leur bêtise crasse. Et dire qu'on a aimé ces gens-là ! Leur musique en tout cas. Faisons ça : limitons-nous à leur musique, et pas à ce qu'ils ont détruit comme chambres d'hôtel parfois de la façon la plus abjecte, de leur charité envers certains pays (et pas d'autres), mais leur fuite d'un pays pour payer moins d'impôts etc. etc. etc. Mouais !

    Bon, paraîtrait que David Guilmour fait partie des vertueux (tout est relatif, je sais, mais il y a là-dedans une anecdote intéressante sur le sujet) ... ben ça me fait plaisir !

     

     

    Money (puisque c'est de cela qu'il s'agit, en l'occurrence)

     

     

     

    éKlats 16/52

     

        Un autre, acheté celui-là : le peu de bouquins qui m'attirent dans la librairie Page 189, c'est, souvent, dû à un appel du titre associé à la lecture de la première page ! C'est ainsi que j'ai découvert deux ouvrages (dont je parlerai ou pas, sainte Feignasse, voyez avec Rita si vous pouvez quelque chose pour moi ! ) Fille, de Camille Laurens, et, (au s'cours, saint Fatras, va donc voir Rita, toi aussi !) un autre que je ne retrouve pas !!! d'Olivier Rollin : l'occasion d'un déménagement où, par livre retrouvé, se racontent les voyages pendant lesquels ils ont étés lus. Certaines lectures décoiffent, défrisent, interpellent et troublent. Ce fut le cas de ces deux-là, pour des raisons fort différentes. Chaque fois, CHAQUE FOIS, je me dis : Mais écris, bordel, ÉCRIS, si c'est si important pour toi.  POUR DE BON. Mais y'a rien à faire, je bloque. JE BLOQUE TOUJOURS. Faîche ! Les actes, j'disais !

     

        Finalement, heureusement que je vais chez le toubib de temps en temps ; le positif, c'est que je prends quelques photos dans le métro : celles de gens qui dorment ...

     

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        ... ou, mignonnement, celles de gens qui s'aiment ... 

     

    éKlats 16/52

     

    Vive l'amour !

     

    Bonne semaine à vous !


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